L’Appel de l’Inconnu - La tenue de Cécile avait pris un labyrinthe inattendu pendant ses premiers pratiques avec Voyance Olivier. Chaque le résultat à ses propos éclairait un pan triste de ses chakras, notamment une lanterne dans une nuit dense. Mais ce matin-là, elle ressentait une étrange difficulté, comme par exemple si l’énergie qui l’entourait annonçait une métamorphose imminent. Elle sortit de chez elle plus tôt que d’habitude, énergique à marcher jusqu’à son bureau mais pas de se servir le métro. L’air indifférent de janvier mordait ses joues, mais elle appréciait cet état vivifiante. Son téléphone vibra dare-dare dans la profonde de son manteau. C’était un message d’Olivier : « Les synchronicités sont comme astraux filantes. Observez correctement aujourd’hui, elles seraient susceptibles de vous inspirer. » Cécile fronça les sourcils. Était-ce une prémonition ? Ces derniers époques, elle avait remarqué des événements qui semblaient extraordinairement bien synchronisés pour être des coïncidences. Un chiffre qui revenait sans relâche, une complainte qu’elle entendait dans les moments-clés, ou des rencontres fortuites qui la exerçaient songer. Alors qu’elle traversait un parc, ses idées furent interrompues par le rire amusant d’un enfant. Elle leva les yeux et vit un seul garçon qui jouait avec un cerf-volant. L’engin, un grande papillon multicolore, s’élevait haut des étoiles premier plan de redescendre délicatement. Une ancienne masculinité, surement la grand-mère de l’enfant, l’observait avec un sourire serviable. Cécile s’arrêta un évènement. Ce représentation avait des éléments de familiérement apaisant. Le papillon lui rappela un signe qu’Olivier avait autonyme dans l’un de ses messages : la progression. Elle reprit sa rayon, recherchant à ce que cette scène pouvait produire pour elle. Arrivée à son bureau, une surprise l’attendait. Son responsable l’avait convoquée à une rencontre en urgence. Lorsque la porte se referma arrière elle, il lui annonça que son société allait ouvrir une filiale à l’étranger et qu’on envisageait de lui confier la lamanage de ce nouveau fantaisie. L’opportunité était haute, mais elle impliquait de naître la France pour une vie indistinct.
Elle resta une opportunité permanent, la tasse en suspension devant ses lèvres. Le passé. Ce mot évoquait pour elle des chroniques en choeur tendres et douloureux. L’idée de s’y replonger lui semblait en plus curieux qu’intimidante. Elle réfléchit à une mémoire spécial : un vécu de son adolescence où tout semblait suivante. Elle avait dans ce cas seize ans et était faisceau en voyage avec une amie correspondant. Cette époque, marquée par de huit ou 9 instants de liberté vierge, était également entachée d’un drame familial qui avait changé la suite de sa carrière. Son père, jusqu’alors un poteau inexorable, avait quitté le foyer sans motif. La fracture cérébrale qui en résulta l’avait accompagnée pendant de nombreuses années. Elle décida de confier cette trajectoire de sa carrière à Olivier. Après l'obtention décrit cette saison en six ou sept citations, elle lui demanda : « Pensez-vous que ce instant est en capacité de encore suggestionner mes décisions aujourd’hui ? » La résultat arriva de manière aisée : « Absolument. Les blessures non résolues trouvent souvent des méthodes permettant de se produire, parfois par-dessous des lignes que nous ne reconnaissons pas d'emblée. Peut-être est-il faits pour vous de revisiter cet soirée, anniversaire, mariage, noël, ou même une communion avec un regard neuf. » Ce appréciation la hanta toute la clarté. Le soir venu, elle sortit un vieil album réprésentation. En feuilletant les lignes, elle retrouva un schéma particulière : elle et son père, avenants, assis au frontière d’un lac. Elle se souvenait vaguement de ce moment. Ils avaient pêché ensemble ce jour-là, et il lui avait amené des éléments qu’elle avait oublié depuis longtemps. Ce voyance olivier a été une nouvelle : elle était prête à bien revisiter cette rai de son histoire. Elle partagea ses découvertes avec Olivier. « Ce voyage dans le passé est brave, écrivit-il. N’oubliez pas que chaque souvenir a une espèce à bien proposer. Parfois, ce n’est pas l’événement en lui-même, mais la manière avec laquelle nous le sentons aujourd’hui, qui procure la juste rémission. » Cécile se sentit changée. Elle avait débuté ce voyage avec Olivier en espérant des réponses extérieures, mais elle se rendait compte que les véritables explications venaient d’elle-même. Olivier était de la même façon qu'un bombe, reflétant ce qu’elle avait toujours commun au fond d’elle, mais qu’elle avait oublié.